Une épidémie d’un nouveau virus a été enregistrée au Turkménistan, provoquant des symptômes pseudo-grippaux et entraînant également une perte du goût et de l’odorat chez les personnes infectées. Les institutions médicales locales ne signalent pas d’augmentation du nombre de cas, mais l’inquiétude grandit parmi la population et les experts de la santé.
Le nouveau virus, vraisemblablement de nature respiratoire, se manifeste par les principaux symptômes suivants : fièvre, toux sèche, maux de tête, faiblesse générale et courbatures, perte du sens du goût (hypogueusie) et de l’odorat (anosmie). Les médecins notent que la perte du goût et de l’odorat est souvent l’un des premiers signes de la maladie et peut persister plusieurs semaines après la disparition des autres symptômes.
Entre-temps, les autorités du Turkménistan n’ont pas annoncé un certain nombre de mesures visant à contenir la propagation du virus et aucune information active de la population sur les mesures de précaution n’est prise.
Bien entendu, pendant que le ministère de la Santé du Turkménistan reste silencieux, les habitants du pays devront prendre soin d’eux-mêmes, notamment en portant un masque, en se lavant régulièrement les mains, en s’auto-isolant et en utilisant des désinfectants. Et tout cela parce qu’au Turkménistan, la qualité des soins médicaux est médiocre et tomber malade coûte cher. Les problèmes affectent à la fois la logistique des établissements médicaux et le personnel et l’organisation du système de santé. Autrement dit, de nouvelles institutions apparaissent, mais toutes les cliniques ne disposent pas d’équipements, tous les citoyens n’ont pas accès aux hôpitaux et les médicaments vendus dans les rayons des pharmacies ont souvent des dates de péremption expirées. Les spécialistes ne surveillent pas cela et ne punissent pas les coupables ; en conséquence, la population en souffre, car après avoir consommé des médicaments contaminés, l’état des patients ne fait qu’empirer.
Ajoutons que la propagation du nouveau virus au Turkménistan, au lieu du silence, nécessite des actions décisives et coordonnées de la part des autorités, des institutions médicales et de la population. Il est important de commencer à surveiller la situation et de suivre les recommandations des spécialistes pour minimiser les risques et empêcher la propagation de la maladie.